Alors que la peine de mort avait déjà été abolie par Mitterrand en 1981 et que cela a été inscrit dans la Constitution de la Ve République en février 2007, la Convention européenne des droits de l'homme en remet une couche, puisque la France a aujourd'hui - journée de l'Europe contre la peine de mort - ratifié le protocole 13 de cette convention qui "abolit la peine de mort en toutes circonstances, même pour les actes commis en temps de guerre ou de danger imminent de guerre". Sans être un fervent partisan de la peine de mort car lui préférant, en tant que catholique, un bagne à perpétuité permettant de faire éventuellement pénitence pour le salut de son âme, je trouve que cela va trop loin dans le mauvais sens. On ne peut légitimement pas s'interdire absolument de traiter des gens qui se sont mis en situation de guerre contre la civilisation - je pense au terrorisme - comme ils le méritent. Même le catéchisme actuel le permet.
Mais le plus important c'est l'hypocrisie fondamentale des positions européenne et française sur le sujet, révélée par les difficultés rencontrées avec la Pologne quant à la mise en place de cette journée européenne contre la peine de mort. Car quand on veut protéger et promouvoir la vie, on ne commence pas par pleurer le sort des délinquants et des pires criminels dans la plus pure et ridicule tradition philanthropique, on préserve avant tous les innocents, ceux qui sont éliminés sans pouvoir se défendre. Je fais bien évidemment allusion ici à l'avortement, au génocide des innocents. De fait, la peine de mort existe bel et bien toujours en France et dans la majeure partie de l'Europe, et elle concerne ces enfants qui n'auront pas eu une chance de vivre à cause de l'égoïsme de la société. On les sacrifie pour rien, on préfère sauver des criminels qui auraient plus de raison de mourir, alors que pendant ce temps-là on déplore le vieillissement de l'Europe et qu'on promeut l'invasion par l'immigration massive au niveau européen. La seule conclusion possible est celle-ci : l'institution européenne est une criminelle, et c'est elle qui mérite d'être supprimée.
Mais le plus important c'est l'hypocrisie fondamentale des positions européenne et française sur le sujet, révélée par les difficultés rencontrées avec la Pologne quant à la mise en place de cette journée européenne contre la peine de mort. Car quand on veut protéger et promouvoir la vie, on ne commence pas par pleurer le sort des délinquants et des pires criminels dans la plus pure et ridicule tradition philanthropique, on préserve avant tous les innocents, ceux qui sont éliminés sans pouvoir se défendre. Je fais bien évidemment allusion ici à l'avortement, au génocide des innocents. De fait, la peine de mort existe bel et bien toujours en France et dans la majeure partie de l'Europe, et elle concerne ces enfants qui n'auront pas eu une chance de vivre à cause de l'égoïsme de la société. On les sacrifie pour rien, on préfère sauver des criminels qui auraient plus de raison de mourir, alors que pendant ce temps-là on déplore le vieillissement de l'Europe et qu'on promeut l'invasion par l'immigration massive au niveau européen. La seule conclusion possible est celle-ci : l'institution européenne est une criminelle, et c'est elle qui mérite d'être supprimée.
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