Rien de très palpitant ces temps-ci, sinon, du côté de l'extrême gauche, l'officialisation attendue de la candidature de Marie-Georges Buffet pour le parti communiste ; les espoirs de la gauche anti-libérale se trouvent donc ruinés pour de bon, Mme Buffet jugeant urgent de se lancer en campagne, alors que Clémentine Autain ne soutient pas cette décision. Le climat est donc plus que jamais à la division à l'extrême gauche.
A l'autre extrême de l'échiquier politique, c'est dans le cadre de l'Union des patriotes que Bruno Mégret a officialisé son ralliement à Jean-Marie Le Pen. Ce n'est pas une grande surprise quand on connaît l'état du MNR et qu'on sait quel échec avait été sa candidature en 2002, au point qu'on peut se demander de quoi se réjouit précisément un Front National qui n'avait pas eu besoin du MNR pour faire un excellent score en 2002. On peut penser tout de même que Le Pen n'est pas mécontent du ralliement de Mégret au niveau symbolique, d'autant que cela peut lui permettre de reprendre son discours selon lequel Philippe de Villiers diviserait la droite nationale en ne se ralliant pas à lui. Bien sûr il ne vient pas à l'idée à M. Le Pen de se demander au nom de quoi on se rallierait derrière lui après l'échec de 2002, alors que le bilan vendéen de Philippe de Villiers est un atout qu'il ne pourra jamais présenter. Toujours est-il que l'arrivée de Mégret dans l'Union des patriotes semble déjà engendrer quelque discorde avec Marine Le Pen et ses proches au FN. Affaire à suivre...
Autre ralliement, celui de Rachid Kaci "au profit de Nicolas Sarkozy".
A l'autre extrême de l'échiquier politique, c'est dans le cadre de l'Union des patriotes que Bruno Mégret a officialisé son ralliement à Jean-Marie Le Pen. Ce n'est pas une grande surprise quand on connaît l'état du MNR et qu'on sait quel échec avait été sa candidature en 2002, au point qu'on peut se demander de quoi se réjouit précisément un Front National qui n'avait pas eu besoin du MNR pour faire un excellent score en 2002. On peut penser tout de même que Le Pen n'est pas mécontent du ralliement de Mégret au niveau symbolique, d'autant que cela peut lui permettre de reprendre son discours selon lequel Philippe de Villiers diviserait la droite nationale en ne se ralliant pas à lui. Bien sûr il ne vient pas à l'idée à M. Le Pen de se demander au nom de quoi on se rallierait derrière lui après l'échec de 2002, alors que le bilan vendéen de Philippe de Villiers est un atout qu'il ne pourra jamais présenter. Toujours est-il que l'arrivée de Mégret dans l'Union des patriotes semble déjà engendrer quelque discorde avec Marine Le Pen et ses proches au FN. Affaire à suivre...
Autre ralliement, celui de Rachid Kaci "au profit de Nicolas Sarkozy".
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