Alors que Nicolas Sarkozy s'est décidé à quitter sur le tard le ministère de l'Intérieur, l'émeute qui a éclaté à la Gare du Nord de Paris s'est produite juste à point, par quelque coïncidence, pour marquer en forme de conclusion ce qu'il faut bien appeler l'échec d'un ministre qui sous couvert de grandes envolées, de belles paroles, et de la promotion d'une culture du résultat, n'en a guère obtenu, faute d'avoir su montrer la véritable poigne d'un homme de droite, alors que cette action en demi-teinte ne lui a pas gagné les coeurs à gauche, bien au contraire, puisqu'ils semblent définir les hommes politiques par leur plumage et par leur ramage, pour parler comme La Fontaine dans la fable bien connue, c'est-à-dire par leur apparence médiatique. Et pourtant, s'il a été question de karsher, force est de constater qu'on n'en a jamais vu la couleur ; beaucoup de bruit pour rien en somme !
Car quelle est la réalité d'aujourd'hui, mise en relief à l'automne 2005 par la tristement célèbre révolte ethnique et francophobe ? La réalité, c'est 800 cités interdites, ce sont des voitures qui brûlent tous les jours sans que les gens qui se disent de droite et qui sont au pouvoir depuis 5 ans s'en émeuvent, c'est environ 11000 policiers blessés en 2006, c'est-à-dire qu'outre le fait que le territoire de la France - de la République comme on l'entend trop souvent un peu étrangement, même si c'est pour faire référence à l'unité baffouée - subit des phénomènes d'appartheid comme l'a très bien souligné Philippe de Villiers dans ses récents commentaires de la situation, les policiers ne peuvent plus exercer un travail quotidien de contrôle sans risquer d'être blessés, ce qui est inadmissible. Les bandes ethniques nées de l'immigration maghrébine et musulmane sont en train de procéder, depuis bien des années déjà, à une appropriation progressive de territoires en zone urbaine. Tout comme les islamistes sont le bras armé de la masse musulmane colonisatrice prétendument passive, les bandes ont elles pour rôle de contrôler ces territoires face à des policiers qui ne sont pas soutenus et qui ne disposent d'aucun pouvoir.
Ce qui n'était finalement à la base qu'un incident mineur à la Gare du Nord, quand un homme déjà connu défavorablement des services de la police s'est fait contrôler par un agent de la RATP et que les choses se sont envenimées, a encore une fois révélé cette vérité, qui est que l'Etat français ne peut plus se faire respecter dans toute une partie du territoire urbain français sans que cela provoque une émeute ou plutôt une véritable révolte. Quand un tel incident est capable de mobiliser plusieurs centaines de jeunes - par téléphone portable notamment - qui se trouvent comme à l'affût de tels événements, qui défient l'autorité française pendant plusieurs heures en criant des horreurs comme "sales blancs" ou "nique la France", la vérité est d'une limpidité terrifiante : alors que nous avons sacrifié à l'Europe nos frontières nationales, des frontières intérieures se sont lentement mais sûrement constituées sur notre territoire, en prélude à une véritable guerre civile qu'il paraît bien difficile d'éviter aujourd'hui, sauf à croire qu'il faille faire fi de tout honneur comme les dhimmis Royal, Bayrou et Sarkozy, qui sont déjà dans l'après-France, le multiculturalisme et la politique compassionnelle qui cède au chantage des bandes ethniques et musulmanes. Marie-Ségolène Royal trouve le moyen de faire pire, car, outre l'argent gaspillé dans des myriades de subventions pour ces quartiers, qui se sont envolées en fumée avec ces gymnases et écoles disparus en novembre 2005 dont elles avaient permis, entre autres, le financement, elle a l'audace, la perfide, de voir dans les événements de la Gare du Nord un affrontement, une confrontation entre une bande de jeunes et des policiers, comme si ces deux partis se situaient sur le même niveau ! A-t-on jamais eu idée de pareille infâmie dans la bouche d'une candidate à l'élection présidentielle, qui soutient le désordre contre les forces de l'ordre de la France ? Les Français sauront s'en souvenir, je n'en doute pas.
Malgré ce climat terrible, il existe la possibilité d'améliorer la situation par l'entremise de cette élection présidentielle, à condition que les Français aient enfin le courage d'élire un véritable homme de droite, un homme d'ordre qui défende l'identité française, ni un beau parleur comme Nicolas Sarkozy, ni un homme comme Jean-Marie Le Pen qui, visiblement un peu dépassé, voyait dans les émeutes de novembre 2005 des révoltes à caractère anarchique plutôt qu'une révolte à caractère ethnique et religieux - musulman dans ce cas précis. Cet homme, c'est Philippe de Villiers, celui qui a compris le mieux le danger de l'appartheid qui progresse en France et de l'islamisation devant laquelle se couche le trio dhimmi Royal-Bayrou-Sarkozy. Il n'y a pas d'autre solution, au point où en sont les choses, que de prendre des mesures d'urgence, des mesures fermes et juste. L'autorité de l'Etat français doit être rétablie. Cela suppose en premier lieu un soutien indéfectible à notre police nationale, dont les moyens doivent être étendus, y compris le tir à balles réelles, voire le renfort de la gendarmerie quand cela s'avère nécessaire, voire des moyens d'envergure propres à l'armée dans le cas d'une révolte comparable à celle de novembre 2005 ; cela suppose le rétablissement de la double peine et l'expulsion immédiate et inconditionnelle de tout étranger qui commet quelque délit sur le territoire français - comme de tout délinquant clandestin à l'évidence - ; cela suppose le rétablissement de nos frontières et un objectif d'immigration zéro, car on ne peut aggraver une situation qu'on ne maîtrise pas ; cela suppose la responsabilisation des familles de délinquants français - suppression des allocations familiales, etc. - ; cela suppose la dissolution du CFCM et une charte imposant des conditions draconiennes pour la construction de toute mosquée sur le territoire français afin qu'elle soit rigoureusement contrôlée ; cela suppose enfin une éducation nationale patriote qui affiche haut les couleurs de la France, fasse aime son histoire et ses valeurs.
A consulter, la réaction de Philippe de Villiers ainsi qu'un montage d'images de différents journaux télévisés ICI.
Car quelle est la réalité d'aujourd'hui, mise en relief à l'automne 2005 par la tristement célèbre révolte ethnique et francophobe ? La réalité, c'est 800 cités interdites, ce sont des voitures qui brûlent tous les jours sans que les gens qui se disent de droite et qui sont au pouvoir depuis 5 ans s'en émeuvent, c'est environ 11000 policiers blessés en 2006, c'est-à-dire qu'outre le fait que le territoire de la France - de la République comme on l'entend trop souvent un peu étrangement, même si c'est pour faire référence à l'unité baffouée - subit des phénomènes d'appartheid comme l'a très bien souligné Philippe de Villiers dans ses récents commentaires de la situation, les policiers ne peuvent plus exercer un travail quotidien de contrôle sans risquer d'être blessés, ce qui est inadmissible. Les bandes ethniques nées de l'immigration maghrébine et musulmane sont en train de procéder, depuis bien des années déjà, à une appropriation progressive de territoires en zone urbaine. Tout comme les islamistes sont le bras armé de la masse musulmane colonisatrice prétendument passive, les bandes ont elles pour rôle de contrôler ces territoires face à des policiers qui ne sont pas soutenus et qui ne disposent d'aucun pouvoir.
Ce qui n'était finalement à la base qu'un incident mineur à la Gare du Nord, quand un homme déjà connu défavorablement des services de la police s'est fait contrôler par un agent de la RATP et que les choses se sont envenimées, a encore une fois révélé cette vérité, qui est que l'Etat français ne peut plus se faire respecter dans toute une partie du territoire urbain français sans que cela provoque une émeute ou plutôt une véritable révolte. Quand un tel incident est capable de mobiliser plusieurs centaines de jeunes - par téléphone portable notamment - qui se trouvent comme à l'affût de tels événements, qui défient l'autorité française pendant plusieurs heures en criant des horreurs comme "sales blancs" ou "nique la France", la vérité est d'une limpidité terrifiante : alors que nous avons sacrifié à l'Europe nos frontières nationales, des frontières intérieures se sont lentement mais sûrement constituées sur notre territoire, en prélude à une véritable guerre civile qu'il paraît bien difficile d'éviter aujourd'hui, sauf à croire qu'il faille faire fi de tout honneur comme les dhimmis Royal, Bayrou et Sarkozy, qui sont déjà dans l'après-France, le multiculturalisme et la politique compassionnelle qui cède au chantage des bandes ethniques et musulmanes. Marie-Ségolène Royal trouve le moyen de faire pire, car, outre l'argent gaspillé dans des myriades de subventions pour ces quartiers, qui se sont envolées en fumée avec ces gymnases et écoles disparus en novembre 2005 dont elles avaient permis, entre autres, le financement, elle a l'audace, la perfide, de voir dans les événements de la Gare du Nord un affrontement, une confrontation entre une bande de jeunes et des policiers, comme si ces deux partis se situaient sur le même niveau ! A-t-on jamais eu idée de pareille infâmie dans la bouche d'une candidate à l'élection présidentielle, qui soutient le désordre contre les forces de l'ordre de la France ? Les Français sauront s'en souvenir, je n'en doute pas.
Malgré ce climat terrible, il existe la possibilité d'améliorer la situation par l'entremise de cette élection présidentielle, à condition que les Français aient enfin le courage d'élire un véritable homme de droite, un homme d'ordre qui défende l'identité française, ni un beau parleur comme Nicolas Sarkozy, ni un homme comme Jean-Marie Le Pen qui, visiblement un peu dépassé, voyait dans les émeutes de novembre 2005 des révoltes à caractère anarchique plutôt qu'une révolte à caractère ethnique et religieux - musulman dans ce cas précis. Cet homme, c'est Philippe de Villiers, celui qui a compris le mieux le danger de l'appartheid qui progresse en France et de l'islamisation devant laquelle se couche le trio dhimmi Royal-Bayrou-Sarkozy. Il n'y a pas d'autre solution, au point où en sont les choses, que de prendre des mesures d'urgence, des mesures fermes et juste. L'autorité de l'Etat français doit être rétablie. Cela suppose en premier lieu un soutien indéfectible à notre police nationale, dont les moyens doivent être étendus, y compris le tir à balles réelles, voire le renfort de la gendarmerie quand cela s'avère nécessaire, voire des moyens d'envergure propres à l'armée dans le cas d'une révolte comparable à celle de novembre 2005 ; cela suppose le rétablissement de la double peine et l'expulsion immédiate et inconditionnelle de tout étranger qui commet quelque délit sur le territoire français - comme de tout délinquant clandestin à l'évidence - ; cela suppose le rétablissement de nos frontières et un objectif d'immigration zéro, car on ne peut aggraver une situation qu'on ne maîtrise pas ; cela suppose la responsabilisation des familles de délinquants français - suppression des allocations familiales, etc. - ; cela suppose la dissolution du CFCM et une charte imposant des conditions draconiennes pour la construction de toute mosquée sur le territoire français afin qu'elle soit rigoureusement contrôlée ; cela suppose enfin une éducation nationale patriote qui affiche haut les couleurs de la France, fasse aime son histoire et ses valeurs.
A consulter, la réaction de Philippe de Villiers ainsi qu'un montage d'images de différents journaux télévisés ICI.
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