Si la campagne présidentielle est toujours aussi nullissime dans sa globalité, il faut bien avouer que les principaux candidats ont commis ces derniers temps quelques impairs qui ont au moins le mérite - fort relatif j'en conviens - de la rendre quelque peu amusante.
Marie-Ségolène Royal, comme son compère Nicolas Sarkozy, aime jouer avec les caméras et aller un coup à gauche, un coup à droite, cela se compliquant pour la première par une ligne qui, il faut bien l'avouer, contrarie souvent le fantomatique programme du Parti Socialiste. C'est ainsi qu'après que ce dernier ce soit élevé il y a quelques mois contre ce CPE qui apparaissait alors comme le nec plus ultra en matière d'iniquité, Marie-Ségolène propose désormais pour les jeunes une solution qui s'apparente fortement sinon complètement... au CPE ! Pas de doute, Marie-Ségo est bien une femme, sauf que ce qui apparaissait comme un atout pour les socialistes il y a quelques mois - le seul qu'ils aient trouvé, les pauvres ! - confine la candidature de leur championne au stade de l'inconséquence et de l'incohérence les plus totales.
Nicolas Sarkozy, de son côté, n'est pas sans concurrencer sa rivale en "médiatique" - je n'ose écrire en politique - au niveau des gaffes. C'est ainsi que M. Sarkozy, alors qu'il voulait s'attirer la sympathie des femmes - de leur vote surtout - a déclaré que chaque femme battue dans le monde devrait être considérée comme française... Est-ce à dire qu'il faille s'attendre à ce que chaque musulman et archaïque de la planète qui désire devenir français batte sa femme pour qu'elle devienne française et pour qu'il puisse ensuite bénéficier du regroupement familial ? Nicolas Sarkozy, non content d'avoir permis l'entrée de 300000 clandestins sur le territoire français depuis 2002 en moyenne, semble déjà employer une imagination débordante pour créer une nouvelle filière d'immigration résolument originale. Comme si cela ne suffisait pas, l'entretien de l'ancien ministre de l'Intérieur avec Michel Onfray a permis au premier de relancer sa conception du déterminisme, déjà abordée quand il voulait faire dépister la délinquance dès l'école maternelle. Cette fois-ci, c'est des tendances suicidaires et des pulsions pédophiles dont il s'agit, et qui relèveraient selon le candidat de l'UMP de l'inné plutôt que de l'acquis. Cela me paraît inquiétant en ce que, au-delà des dérives en matière d'eugénisme que de telles conceptions peuvent entraîner, cela va complètement à l'encontre d'une conception chrétienne de l'homme, car si l'homme est le fils d'Adam et Eve et garde les stigmates de la Chute et du péché originel, il est racheté par le Christ qui lui apporte la liberté et lui permet de se racheter par une vie responsable. Ce serait croire que l'éducation, que la morale, que l'exemple, que la grâce divine, ne seraient rien pour certains individus. Ce serait encore proclamer que Dieu aurait condamné par avance certains individus à la damnation éternelle. Voilà qui n'est pas acceptable.
François Bayrou, de son côté, essaie dans la dernière ligne droite de la campagne de capitaliser sa cote médiatique. M. Bayrou, qui se dit catholique pratiquant mais attaché à la laïcité à la sauce 1905 et à toute foi indifféremment de son contenu - naïveté malheureusement partagée par presque tout l'échiquier politique actuel - me fait pourtant l'effet d'être un gnostique. C'est ainsi que comme ces mystiques que sont les gnostiques croient atteindre la Vérité en mélangeant toutes les croyances humaines dans leur creuset d'alchimiste, il croit être la synthèse suprême de la gauche et de la droite, faire infuser ensemble démocratie chrétienne, gaullisme et mendésisme. Voilà qui est fort délirant, au moins autant que les délires des gnostiques auxquels je le compare. Chacun sait en effet que François Bayrou, loin d'être ce nouveau rebelle que les médias se sont acharnés à construire pour tenter de faire dévier le vote contestataire tant craint de son objet ayant nom Le Pen, est bien au contraire le coeur même du système, lui qui a toujours défendu avec une constance parfaite l'eurofédéralisme. Non content de cela, il est encore un hypocrite, car quand on se plaint de l'absence d'égalité dans le traitement des candidats dans les médias, pour ensuite suggérer un débat sur internet entre les quatre principaux, en refermant la porte de la démocratie derrière lui, on n'est définitivement plus crédible.
Jean-Marie Le Pen, quant à lui, est revenu à ses grands classiques, je veux parler de ces petites phrases qu'il sait, j'en suis certain, choquantes, inutiles, et qui ont toujours desservi le combat patriote en France. Passe encore quand il déclare que confier la problématique écologique à Jacques Chirac revient à confier les problèmes de l'enfance à Marc Dutroux, car si la comparaison est hautement douteuse et inutile, le fond ne manque pas d'une certaine véracité. Mais quand il enchaîne encore en se déclarant le candidat qui vient du terroir français par opposition à un Nicolas Sarkozy qui vient de l'immigration, puisque son père est hongrois, cela m'interpelle. Certes, je me souviens avoir entendu M. Sarkozy défendre lui-même sa vision multiculturelle de la France lors d'une intervention télévisée de cette campagne présidentielle en rappelant qu'il venait lui-même de l'immigration, ce qui plaide en faveur de la déclaration de M. Le Pen. Seulement, on ne peut pas nécessairement tirer de ce cas particulier une vérité générale. Ainsi, il m'apparaît d'une part que M. Sarkozy se leurre lui-même quand il fait de son origine une explication - parmi d'autres évidemment - de son attitude favorable à ce multiculturalisme qui serait une richesse pour la France, parce que quand il défend un multiculturalisme qui fait référence à des civilisations qui s'opposent et s'entrechoquent nécessairement - je veux là parler de la chrétienté et de toutes ses avancées au niveau de la liberté et de la responsabilité contre l'islam, son archaïsme et son obscurantisme avérés - il oublie que son origine est européenne et qu'elle appartient donc au même prisme chrétien, à la même sphère civilisationnelle chrétienne dans laquelle est comprise, également, la France et son histoire. En un mot, l'origine de Nicolas Sarkozy n'est pas comparable au multiculturalisme qu'il défend, et l'immigration européenne - qu'elle soit de l'Europe de l'est ou du sud - n'est pas celle que dénonce avec virulence Jean-Marie Le Pen : Sarkozy comme Le Pen s'escriment donc chacun dans le vide (on pourrait encore souligner, en faisant un peu d'histoire, que les rois de France ayant eu nombre de parentés européennes, la position absurde de Jean-Marie Le Pen invaliderait leur francité !). Cela apparaît d'autant plus étrange que lors de sa récente sortie en banlieue, Jean-Marie Le Pen a déclaré à qui voulait l'entendre, sans se soucier à qui il s'adressait, qu'ils - les gens présents - étaient tous français. Pourquoi après cela reprocher à Nicolas Sarkozy une origine hongroise et européenne ? Que reste-t-il alors de cette notion chère au Front National d'inversion des flux migratoires ? Pas grand chose. A trop vouloir jouer les immigrés installés contre les immigrés à venir - car les allocations sociales diverses et variées vont désormais être disputées par plusieurs vagues et strates d'immigration - Le Pen joue une crédibilité qui se dégrade de plus en plus.
Philippe de Villiers, malgré des sondages peu rassurants - mais peu réalistes à mon avis -, reste le candidat qui sait tirer son épingle du jeu, grâce à son honnêté et par sa cohérence sans faille. Il peut ainsi renvoyer dos à dos les conceptions communautaristes de Nicolas Sarkozy et de Jean-Marie Le Pen pour s'affirmer comme le seul défenseur de l'unité française dans cette élection présidentielle. Le programme présidentiel de Philippe de Villiers qui vient de paraître sur le site du Mouvement Pour la France a encore dévoilé, à ma grande satisfaction, la confirmation de l'engagement de ce parti pour la défense de la vie, à travers deux mesures :
Il me reste encore un petit mot à écrire sur Frédéric Nihous, qui, je m'en souviens avec un sourire au coin des lèvres, s'en était pris à Philippe de Villiers lors d'un journal télévisé en l'invitant à plus d'humilité en matière de souverainisme parce qu'il avait fait partie, il y a longtemps, de partis qui n'étaient pas hostiles à la construction européenne. Outre le fait que Nihous semble méconnaître l'histoire politique du pays et la nature différente de ces partis au contenu varié d'alors, et que Villiers, y compris au sein de l'UDF, a toujours combattu la construction bruxelloise et technocratique de l'Europe - les archives de l'INA en font foi au besoin -, personne n'est dupe sur la cause de l'hostilité de Nihous envers Villiers. Le candidat de CPNT rappelle toujours avec fierté - lui qui veut donner des leçons d'humilité à Philippe de Villiers - le score de Jean Saint-Josse, son prédécesseur en 2002, soit 4,23 % de voix au premier tour de l'élection présidentielle. Mais voilà, ce qu'il omet de dire c'est que le MPF n'avait pas présenté de candidature lors de cette élection, et qu'il s'agit d'un parti concurrent en matière de ruralité ; il ne faut pas chercher plus loin l'agacement de M. Nihous, dont la candidature parasite n'a pour but que de promouvoir une catégorie de citoyens, les chasseurs - soit une manière de lobbying. A l'évidence, quand on présente une candidature contre le MPF en prétendant défendre la ruralité, on n'est guère crédible, car on défendrait autrement un candidat, Philippe de Villiers, qui, tout en défendant le monde rural, l'artisanat, les agriculteurs, la viticulture, propose pour la France une vision autrement excellente que celle de CPNT.
Marie-Ségolène Royal, comme son compère Nicolas Sarkozy, aime jouer avec les caméras et aller un coup à gauche, un coup à droite, cela se compliquant pour la première par une ligne qui, il faut bien l'avouer, contrarie souvent le fantomatique programme du Parti Socialiste. C'est ainsi qu'après que ce dernier ce soit élevé il y a quelques mois contre ce CPE qui apparaissait alors comme le nec plus ultra en matière d'iniquité, Marie-Ségolène propose désormais pour les jeunes une solution qui s'apparente fortement sinon complètement... au CPE ! Pas de doute, Marie-Ségo est bien une femme, sauf que ce qui apparaissait comme un atout pour les socialistes il y a quelques mois - le seul qu'ils aient trouvé, les pauvres ! - confine la candidature de leur championne au stade de l'inconséquence et de l'incohérence les plus totales.
Nicolas Sarkozy, de son côté, n'est pas sans concurrencer sa rivale en "médiatique" - je n'ose écrire en politique - au niveau des gaffes. C'est ainsi que M. Sarkozy, alors qu'il voulait s'attirer la sympathie des femmes - de leur vote surtout - a déclaré que chaque femme battue dans le monde devrait être considérée comme française... Est-ce à dire qu'il faille s'attendre à ce que chaque musulman et archaïque de la planète qui désire devenir français batte sa femme pour qu'elle devienne française et pour qu'il puisse ensuite bénéficier du regroupement familial ? Nicolas Sarkozy, non content d'avoir permis l'entrée de 300000 clandestins sur le territoire français depuis 2002 en moyenne, semble déjà employer une imagination débordante pour créer une nouvelle filière d'immigration résolument originale. Comme si cela ne suffisait pas, l'entretien de l'ancien ministre de l'Intérieur avec Michel Onfray a permis au premier de relancer sa conception du déterminisme, déjà abordée quand il voulait faire dépister la délinquance dès l'école maternelle. Cette fois-ci, c'est des tendances suicidaires et des pulsions pédophiles dont il s'agit, et qui relèveraient selon le candidat de l'UMP de l'inné plutôt que de l'acquis. Cela me paraît inquiétant en ce que, au-delà des dérives en matière d'eugénisme que de telles conceptions peuvent entraîner, cela va complètement à l'encontre d'une conception chrétienne de l'homme, car si l'homme est le fils d'Adam et Eve et garde les stigmates de la Chute et du péché originel, il est racheté par le Christ qui lui apporte la liberté et lui permet de se racheter par une vie responsable. Ce serait croire que l'éducation, que la morale, que l'exemple, que la grâce divine, ne seraient rien pour certains individus. Ce serait encore proclamer que Dieu aurait condamné par avance certains individus à la damnation éternelle. Voilà qui n'est pas acceptable.
François Bayrou, de son côté, essaie dans la dernière ligne droite de la campagne de capitaliser sa cote médiatique. M. Bayrou, qui se dit catholique pratiquant mais attaché à la laïcité à la sauce 1905 et à toute foi indifféremment de son contenu - naïveté malheureusement partagée par presque tout l'échiquier politique actuel - me fait pourtant l'effet d'être un gnostique. C'est ainsi que comme ces mystiques que sont les gnostiques croient atteindre la Vérité en mélangeant toutes les croyances humaines dans leur creuset d'alchimiste, il croit être la synthèse suprême de la gauche et de la droite, faire infuser ensemble démocratie chrétienne, gaullisme et mendésisme. Voilà qui est fort délirant, au moins autant que les délires des gnostiques auxquels je le compare. Chacun sait en effet que François Bayrou, loin d'être ce nouveau rebelle que les médias se sont acharnés à construire pour tenter de faire dévier le vote contestataire tant craint de son objet ayant nom Le Pen, est bien au contraire le coeur même du système, lui qui a toujours défendu avec une constance parfaite l'eurofédéralisme. Non content de cela, il est encore un hypocrite, car quand on se plaint de l'absence d'égalité dans le traitement des candidats dans les médias, pour ensuite suggérer un débat sur internet entre les quatre principaux, en refermant la porte de la démocratie derrière lui, on n'est définitivement plus crédible.
Jean-Marie Le Pen, quant à lui, est revenu à ses grands classiques, je veux parler de ces petites phrases qu'il sait, j'en suis certain, choquantes, inutiles, et qui ont toujours desservi le combat patriote en France. Passe encore quand il déclare que confier la problématique écologique à Jacques Chirac revient à confier les problèmes de l'enfance à Marc Dutroux, car si la comparaison est hautement douteuse et inutile, le fond ne manque pas d'une certaine véracité. Mais quand il enchaîne encore en se déclarant le candidat qui vient du terroir français par opposition à un Nicolas Sarkozy qui vient de l'immigration, puisque son père est hongrois, cela m'interpelle. Certes, je me souviens avoir entendu M. Sarkozy défendre lui-même sa vision multiculturelle de la France lors d'une intervention télévisée de cette campagne présidentielle en rappelant qu'il venait lui-même de l'immigration, ce qui plaide en faveur de la déclaration de M. Le Pen. Seulement, on ne peut pas nécessairement tirer de ce cas particulier une vérité générale. Ainsi, il m'apparaît d'une part que M. Sarkozy se leurre lui-même quand il fait de son origine une explication - parmi d'autres évidemment - de son attitude favorable à ce multiculturalisme qui serait une richesse pour la France, parce que quand il défend un multiculturalisme qui fait référence à des civilisations qui s'opposent et s'entrechoquent nécessairement - je veux là parler de la chrétienté et de toutes ses avancées au niveau de la liberté et de la responsabilité contre l'islam, son archaïsme et son obscurantisme avérés - il oublie que son origine est européenne et qu'elle appartient donc au même prisme chrétien, à la même sphère civilisationnelle chrétienne dans laquelle est comprise, également, la France et son histoire. En un mot, l'origine de Nicolas Sarkozy n'est pas comparable au multiculturalisme qu'il défend, et l'immigration européenne - qu'elle soit de l'Europe de l'est ou du sud - n'est pas celle que dénonce avec virulence Jean-Marie Le Pen : Sarkozy comme Le Pen s'escriment donc chacun dans le vide (on pourrait encore souligner, en faisant un peu d'histoire, que les rois de France ayant eu nombre de parentés européennes, la position absurde de Jean-Marie Le Pen invaliderait leur francité !). Cela apparaît d'autant plus étrange que lors de sa récente sortie en banlieue, Jean-Marie Le Pen a déclaré à qui voulait l'entendre, sans se soucier à qui il s'adressait, qu'ils - les gens présents - étaient tous français. Pourquoi après cela reprocher à Nicolas Sarkozy une origine hongroise et européenne ? Que reste-t-il alors de cette notion chère au Front National d'inversion des flux migratoires ? Pas grand chose. A trop vouloir jouer les immigrés installés contre les immigrés à venir - car les allocations sociales diverses et variées vont désormais être disputées par plusieurs vagues et strates d'immigration - Le Pen joue une crédibilité qui se dégrade de plus en plus.
Philippe de Villiers, malgré des sondages peu rassurants - mais peu réalistes à mon avis -, reste le candidat qui sait tirer son épingle du jeu, grâce à son honnêté et par sa cohérence sans faille. Il peut ainsi renvoyer dos à dos les conceptions communautaristes de Nicolas Sarkozy et de Jean-Marie Le Pen pour s'affirmer comme le seul défenseur de l'unité française dans cette élection présidentielle. Le programme présidentiel de Philippe de Villiers qui vient de paraître sur le site du Mouvement Pour la France a encore dévoilé, à ma grande satisfaction, la confirmation de l'engagement de ce parti pour la défense de la vie, à travers deux mesures :
121Le programme du MPF est ainsi le seul qui soit un vrai programme de droite, sans compromission avec le socialisme, sans altération dans une quelconque vision mondialiste ou communautariste, sans renoncement non plus aux valeurs structurantes de notre société sans cesse défiées depuis mai 68.
Affirmer par la loi que l’être humain est une personne digne de respect et titulaires de droits juridiques dès la conception ; et que nul n’est recevable à demander une indemnisation du fait de sa naissance.
122
Faire tomber en désuétude la loi Veil en créant dans chaque département un centre maternel pour la vie qui aura pour vocation d’accueillir les femmes enceintes en détresse que la société abandonne aujourd’hui. La loi Veil présentait l’avortement comme une exception ; avec 250 000 avortements par an, sa banalisation conduit à un drame collectif, un drame pour les femmes, un drame pour les enfants.
Il me reste encore un petit mot à écrire sur Frédéric Nihous, qui, je m'en souviens avec un sourire au coin des lèvres, s'en était pris à Philippe de Villiers lors d'un journal télévisé en l'invitant à plus d'humilité en matière de souverainisme parce qu'il avait fait partie, il y a longtemps, de partis qui n'étaient pas hostiles à la construction européenne. Outre le fait que Nihous semble méconnaître l'histoire politique du pays et la nature différente de ces partis au contenu varié d'alors, et que Villiers, y compris au sein de l'UDF, a toujours combattu la construction bruxelloise et technocratique de l'Europe - les archives de l'INA en font foi au besoin -, personne n'est dupe sur la cause de l'hostilité de Nihous envers Villiers. Le candidat de CPNT rappelle toujours avec fierté - lui qui veut donner des leçons d'humilité à Philippe de Villiers - le score de Jean Saint-Josse, son prédécesseur en 2002, soit 4,23 % de voix au premier tour de l'élection présidentielle. Mais voilà, ce qu'il omet de dire c'est que le MPF n'avait pas présenté de candidature lors de cette élection, et qu'il s'agit d'un parti concurrent en matière de ruralité ; il ne faut pas chercher plus loin l'agacement de M. Nihous, dont la candidature parasite n'a pour but que de promouvoir une catégorie de citoyens, les chasseurs - soit une manière de lobbying. A l'évidence, quand on présente une candidature contre le MPF en prétendant défendre la ruralité, on n'est guère crédible, car on défendrait autrement un candidat, Philippe de Villiers, qui, tout en défendant le monde rural, l'artisanat, les agriculteurs, la viticulture, propose pour la France une vision autrement excellente que celle de CPNT.
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