lundi 28 janvier 2008 | By: Mickaelus

L'impossible combat français et réactionnaire dans le cadre républicain

Il y a quelques temps seulement à l’occasion d’un simple discours présidentiel, une petite polémique a vu le jour entre Bernard-Henri Lévy et Henri Guaino, ce dernier répondant aigrement au premier, qui accusait en substance le pouvoir sarkozyste en place d’être réactionnaire, maurrassien. C’est à mon humble avis accorder beaucoup trop d’importance à certaines déclarations tumultueuses – par la forme seulement – du pouvoir actuel, c’est même l’honorer d’un courage qu’il ne possède certainement pas. Cela, BHL en est pleinement conscient, mais sans doute se croit-il investi de cette mission de l’homme de gauche, héritière de la posture prise par Victor Hugo à l’occasion du coup d’Etat du 2 décembre 1851 de Louis-Napoléon Bonaparte. Cette mission consiste à essayer d’exploiter intellectuellement, médiatiquement, la peur de la réaction, de la droite dure, et cela d’une manière caricaturale et démagogique. Car s’il faut bien être conscient d’une chose, et c’est tout l’objet de ce modeste article, c’est que la réaction n’est pas possible dans tout son éclat au sein de la république : la dénoncer de plus de la part de l’UMP est une pure comédie, une pure vision de charlatan.

Etre de droite aujourd’hui ne signifie pas du tout être réactionnaire, aussi difficile soit-il de l’admettre par des gens de gauche et surtout d’extrême gauche qui ne sont pas très doués en histoire – être de droite à la sauce UMP, c’est seulement être économiquement de tendance libérale et vouloir briser les repères traditionnels de la société, ou le peu qu’il en reste, un peu moins vite que la gauche en général. Il faut même aller plus loin et affirmer qu’il n’existe aujourd’hui aucun parti réactionnaire en France, même si certains partis dits de droite dure, (libéraux)-conservateurs, (bonapartistes)-(jacobins)-nationalistes ou que sais-je encore, peuvent être perçus comme proches de cette tendance d’après une culture politique légère. Etre réactionnaire c’est réagir contre une pensée dominante jugée illégitime : être un réactionnaire français c’est comprendre que les fondamentaux reconnus politiquement actuellement ne sauraient se réclamer de la civilisation française. Ces fondamentaux qu’aucun parti n’ose remettre en cause et qui vont à l’encontre de la civilisation française, sont ceux de la Révolution dite française et de la République. Dès lors, il n’est pas compliqué de comprendre que les deux principaux partis actuels, l’UMP et le PS, ne font que reprendre une acception plus libérale ou plus socialiste de la Révolution, plus bourgeoise ou plus populaire, les deux s’entremêlant souvent pour faire de la République un ensemble à la fois individualiste et collectiviste.

De leur côté, des partis tels que le FN, le MPF ou bien encore le MNR, qui tentent, tant bien que mal et chacun à sa façon, d’intégrer quelques éléments français dans une mixture républicaine, ne font que jouer le jeu d’un système qui les contient nécessairement dans le rôle de valets. L’UMPS a beau jeu, aussi malhonnête cela soit-il, de dire de ces partis qu’ils ne sont pas républicains pour effrayer les bonnes consciences des habitants déracinés de l’ancienne France : cela n’est que souligner une contradiction fondamentale de ces partis qui croient pouvoir servir un régime de gauche, la République, tout en se prétendant français, alors que ce régime. s’est construit de manière abstraite en référence au Contrat social de Rousseau contre la notion même de francité et de tradition. Pour le bien comprendre, encore faut-il savoir ce qu’est la France et la civilisation française, la fondation royale et la légitimité, ce dont je ne parlerai pas en détails ici mais qui est la question première à se poser pour avoir un engagement français, et, au vu de l’état actuel du pays, réactionnaire. Ce n’est malheureusement pas le problème numéro un des militants de tels partis qui croient vraiment mener un combat français en arborant le drapeau des sans-culottes et en chantant la Marseillaise. Drôle de droite en vérité ! On a là plus affaire à une nouvelle et étrange incarnation des jacobins...

Néanmoins, accordons le bénéfice du doute à ces hybrides politiques, fils malheureux d’une France violée et mangée à toutes les sauces par des partis cannibales, et imaginons qu’un président comme Philippe de Villiers ou Jean-Marie Le Pen soit élu. Comment croire que ces hommes pourraient appliquer une politique plus française que ceux qu’ils combattent aujourd’hui, quand tous les principes fondamentaux du régime usurpateur actuel s’y opposent ? On voit déjà comment la gauche se sert du conseil constitutionnel contre l’UMP : imaginons ceci contre un parti plus à droite – et je ne parle même pas de l’Assemblée nationale ! On pourrait objecter qu’il suffirait de changer la constitution ; mais qui garantie qu’elle ne pourrait pas l’être à nouveau dans le mauvais sens ? C’est justement la faiblesse de l’appui d’un régime sur la seule et impuissante, limitée et changeante raison humaine et sur la faiblesse qualitative de la prétendue représentation nationale, uniquement quantitative. Seul un régime comme la monarchie traditionnelle, ayant une tête inamovible et des principes imprescriptibles, et tirant sa légitimité de Dieu, peut assurer la pérennité de la civilisation française. Et cela assurerait encore une politique de continuité que la république ne permet ni ne permettra jamais ; imaginons cinq ans de Villiers ou de Le Pen, un successeur de gauche suffirait pour anéantir tout leur travail.

Il faut encore dire un mot du combat souverainiste qui, s’il peut attirer ma sympathie dans une certaine mesure par son ambition abstraite, est complètement faussé au niveau des enjeux dès lors qu’il entend puiser sa légitimité dans la souveraineté populaire et républicaine et non pas dans la civilisation française dont la souveraineté était celle du souverain, du roi sacré selon la religion catholique. La République, le premier Empire ont été d’après l’idéologie révolutionnaire des mouvements messianiques et expansionnistes à l’origine et cela selon le même procédé que le communisme longtemps après : briser l’ordre monarchique ancien, affranchir les peuples des tyrans – de force si nécessaire –, telle était le mot d’ordre. La République est l’anti-souveraineté, elle est dépassement des frontières physiques et mentales, de l’histoire et du temps, elle se veut universalité infondée et incréée (la raison des Lumières), elle est établissement d’un homme nouveau, déraciné, sans traditions, sans nation pour le dire brièvement. L’idée européenne, qui était déjà en germe dans la conquête de l’Europe par Napoléon et l’établissement de ses frères sur des trônes européens, n’est que l’accomplissement du messianisme révolutionnaire. Prétendre donc se battre pour la souveraineté de la France, comme on le fait à la dite extrême droite ou chez les gaullistes, avec le drapeau bleu blanc rouge comme les sans-culottes de jadis ont déclaré la guerre à l’ordre ancien des royaumes souverains de l’Europe, est d’un ridicule achevé, ou plutôt d’un pathétique complet quand ces gens n’ont pour la plupart pas même conscience que la république qu’ils défendent est la responsable même de la disparition d’une France dont ils ne comprennent pas la définition, et l’Europe politique l’accomplissement des valeurs révolutionnaires. Si on veut que la France soit souveraine, il faudra qu’elle retrouve son roi, un roi sacré comme le dernier roi légitime, Charles X, et qu’aucun bureau européen ne pourra jamais commander puisqu’il tiendrait son pouvoir de la tradition et de Dieu et de personne d’autre, étant bien entendu qu’aucune commission composée d’hommes ne saurait s’égaler à Dieu ou se mettre au-dessus – ce que font actuellement la république dite française comme l’Europe en reniant l’ordre ancien et la vérité de l’Eglise catholique.

L’enjeu du combat français n’est pas d’être de droite plutôt que de gauche, de « vraie droite » plutôt que de « fausse droite » ou de « droite molle » (l’UMP), d’une droite dure hors-système plutôt que d’une droite dure entretenant des liens avec l’UMP (je fais là référence aux gens du FN et du MNR qui critiquent le MPF et sa dite vassalisation à l’UMP, quand eux aussi sont en plein dans le système, la république, et donc au même niveau), mais de promouvoir la vraie France. Cette vraie France ne peut être soutenue que par la vraie droite du temps jadis par opposition à la Révolution et sa nébuleuse libérale socialiste, la voie royaliste. C’est donc pour une monarchie légitime dans la droite lignée de la Restauration et la Charte de 1814, dernière constitution légale française, qu’il faut se battre en tant que réactionnaire français.

mercredi 23 janvier 2008 | By: Mickaelus

La Terreur à Arras vue par Vidocq

Le célèbre Vidocq est né en 1775 à Arras dans une maison non loin de celle où naquit le non moins - et tristement - célèbre Robespierre. Justement, le premier évoque dans ses mémoires l'atmosphère de cette période sanglante à Arras en un paragraphe qui pour être bref n'en concentre pas moins toute la violence, l'horreur, la bassesse et la vulgarité de la Révolution.

"On était alors dans le moment de la Terreur. La guillotine fonctionnait chaque jour. Chaque jour la tête des hommes les plus vertueux tombait à la voix du trop célèbre Joseph Lebon, figure ignoble dont la femme, ex-béguine de l'abbaye du Vivier, n'était pas moins avide d'or et de sang. Lui-même, au sortir de ses orgies, courait la ville, tenant des propos obscènes aux femmes, brandissant son sabre, et tirant des coups de pistolet aux oreilles des enfants. Un jour, accompagné de la "Mère Duchesne", marchande de pommes devenue déesse de la Liberté à Arras, il fit guillotiner tous les habitants d'une rue."

A la suite de ce paragraphe terrible, Vidocq narre une de ses mésaventures qui permettra d'apprécier la "justice" révolutionnaire, bien au rebours de ce que pérorait l'ignare Robert Badinter il y a quelques jours à la télévision, à savoir qu'on condamnait enfin les hommes pour ce qu'ils faisaient et non pour ce qu'ils étaient. Je vous laisserai apprécier la justesse de cette formule, tout comme la façon dont les républicains convertissaient de force les "citoyens" à leur religion sanguinaire.

"Au milieu de ces circonstances déplorables, j'eus pourtant la consolation d'être aimé de la jolie Constance, fille du cantinier de la citadelle, puis des quatre filles d'un notaire qui avait son étude au coin de la rue des Capucins. Je le fus aussi d'une beauté de la rue de la Justice, maîtresse d'un ancien musicien de régiment. Une querelle s'éleva entre lui et moi. Selon mon habitude, je voulus qu'on la vidât. Mais le musicien qui maniait mieux l'archet que l'épée, s'y refusa. Alors, pour le déterminer, je lui crachai au visage. Il fut aussitôt convenu qu'on se trouverait le lendemain, sur le terrain. Je fus exact au rendez-vous. Seulement, au lieu du musicien et de son second, je trouvai des gendarmes et des agents de la municipalité qui me conduisirent aux Baudets où l'on entassait, depuis quelque temps, les "suspects" et les aristocrates destinés au dernier supplice. J'y demeurai seize jours, sans pouvoir connaître le motif de ma détention. Enfin, j'appris qu'elle était le fait d'une dénonciation commise par mon rival, qui avait pour ami un terroriste tout-puissant appelé Chevalier. Je m'adressai en vain à deux autres terroristes, l'ancien perruquier de mon père et un cureur de puits nommé Delmotte, dit Lantillette. Joseph Lebon, visitant la prison, me regarda fixement et me dit, d'un ton moitié dur, moitié goguenard : "Ah! ah! c'est toi, François! Tu t'avises donc d'être aristocrate. Tu dis du mal des sans-culottes. Tu regrettes ton ancien régiment de Bourbon. Prends-y garde! car je pourrais bien t'envoyer commander à cuire (guillotiner). Au surplus, envoie-moi ta mère!" Je lui fis observer qu'étant au secret, je ne pouvais la voir. "Beaupré, dit-il alors au geôlier, tu feras entrer la mère Vidocq."
Les instances de ma mère auprès de la sœur du terroriste Chevalier réussirent complètement. Je fus tiré d'une position qui ne laissait pas d'être fort critique. En sortant de prison, je fus conduit en grande pompe à la société patriotique où l'on me commanda de jurer fidélité à la République, haine aux tyrans, etc. Je jurai tout ce que l'on voulut. De quels sacrifices n'est-on pas capable pour conserver sa liberté?"

Vidocq, Les véritables mémoires de Vidocq (1827)

lundi 21 janvier 2008 | By: Mickaelus

Tableaux de Louis XVI, roi de France et de Navarre et martyr de la Révolution (1754-1793)

Louis Michel Van Loo, Louis-Auguste, duc de Berry (1754-1793)


Antoine François Callet, Louis XVI, roi de France et de Navarre (1754-1793)

Joseph Siffred Duplessis, Louis XVI, roi de France et de Navarre (1754-1793)

Joseph Siffred Duplessis, Portrait de Louis XVI


Gabriel François Doyen, Louis XVI reçoit à Reims les hommages des chevaliers du Saint-Esprit. 13 juin 1775

Joseph Siffred Duplessis, Louis XVI, roi de France et de Navarre (1754-1793)

Antoine François Callet, Louis XVI, roi de France et de Navarre (1754-1793)

Jean François Carteaux, Louis XVI, roi de France et de Navarre (1754-1793)

Anonyme, Louis XVI couronné par la victoire (1754-1793)

Nicolas André Monsiaux, Louis XVI donnant des instructions à La Pérouse. 29 juin 1785

Louis Debucourt Philibert, Trait d'humanité de Louis XVI pendant l'hiver 1785

René Berthon, Louis XVI abandonne les droits du domaine sur les lais de mer aux habitants de Guyenne. 1786

Louis Hersent, Louis XVI distribuant des secours aux pauvres pendant l'hiver de 1788

Henri Pierre Danloux, Louis XVI au Temple

Charles Benazech, Adieux de Louis XVI à sa famille au Temple. Janvier 1793

Jean-Jacques Hauer, Les adieux de Louis XVI à sa famille

Jean-Jacques Hauer, La confession de Louis XVI par l'abbé Edgeworth

Charles Benazech, Louis XVI au pied de l'échafaud. 21 janvier 1793

vendredi 18 janvier 2008 | By: Mickaelus

Quelques tableaux militaires du règne de Louis XIV, "Mars christianissimus"

Anonyme, Louis XIV en Jupiter, vainqueur de la Fronde

Pierre Mignard, Louis XIV couronné par la victoire

Pierre Mignard, Louis XIV à cheval couronné par la victoire

Adam Frans Van Der Meulen (d'après), Louis XIV assistant au siège d'une ville ; Louis XIV donnant ses ordres

Adam Frans Van Der Meulen (d'après), Louis XIV entouré de ses généraux ; Louis XIV assistant au siège d'une ville

1657

Simon de Larminois, Prise de Montmedy. 6 août 1657

1667

Adam Frans van der Meulen, Prise d'Ath. 6 juin 1667

Anonyme, Prise de Charleroi. 12 juin 1667

Anonyme, d'après Adam Frans van der Meulen, Prise de Courtray. 18 juin 1667

Robert Bonnart, Louis XIV au siège de Tournai. 21 juin 1667

Adam Frans van der Meulen, Arrivée de Louis XIV devant Douai. 2 juillet 1667

Beaudrin Yvart ; Charles Le Brun ; d'après Adam Frans van der Meulen, Siège de Douai. 4 juillet 1667

Adam Frans van der Meulen, Siège d'Audenarde. 31 juillet 1667

Adam Frans van der Meulen, Louis XIV au siège de Lille. Août 1667

Adam Frans Van Der Meulen, Le Siège de Lille en 1667 ; L'Armée de Louis XIV au prieuré de Fives devant Lille

Adam Frans van der Meulen, Vue de la ville de Lille assiégée, prise du prieuré de Fives. Août 1667

Pierre Denis Martin, dit Martin le Jeune, d'après Adam Frans van der Meulen, Prise de Lille. 27 août 1667

Anonyme, d'après Adam Frans van der Meulen, combat près du canal de Bruges. 31 août 1667

Adam Frans van der Meulen, Défaite de l'armée espagnole près du canal de Bruges (31 août 1667)

1668

Adam Frans van der Meulen, Louis XIV devant Dole en 1668

Adam Frans van der Meulen, La prise de Dole

Pierre Denis Martin, dit Martin le Jeune, d'après Adam Frans van der Meulen, Prise de Dole. 14 février 1668

Charles Le Brun, La paix conclue à Aix-la-Chapelle. 1668

1671

Charles Le Brun, Résolution prise de faire la guerre aux Hollandais. 1671

1672

Charles Le Brun, Le roi arme sur terre et sur mer. 1672

Charles Le Brun, Le roi donne des ordres pour attaquer en même temps quatre places fortes de Hollande. 1672

Pierre Denis Martin, dit Martin le Jeune, d'après Adam Frans van der Meulen, Prise de Rhinberg. 6 juin 1672

Adam Frans van der Meulen, Le passage du Rhin (12 juin 1672)

Adam Frans Van Der Meulen, Le Passage du Rhin en 1672

Charles Le Brun, Passage du Rhin en présence des ennemis. 1672

Joseph Parrocel, Passage du Rhin par l'armée de Louis XIV (12 juin 1672)

Jean-Baptiste Martin, dit Martin des batailles, d'après Adam Frans van der Meulen, Prise de Doesburg. 21 juin 1672

Jean-Baptiste Martin, Prise d'Utrecht. 30 juin 1672

Jean-Baptiste Martin, dit Martin des batailles, Prise de Naerden. 20 juillet 1672

1673

Adam Frans van der Meulen, Arrivée de Louis XIV au camp devant Maestricht (juin 1673)

Joseph Parrocel, Louis XIV dirigeant le siège de Maestricht, 29 juin 1673

1674

Pierre Denis Martin, dit Martin des Gobelins, Le siège de Gray en février 1674

Pierre Denis Martin, dit Martin des Gobelins, Siège de Besançon en mai 1674

Adam Frans van der Meulen, Prise de Besançon. 15 mai 1674

Charles Le Brun, La Franche-Comté conquise pour la seconde fois. 1674

1677

Anonyme, d'après Adam Frans van der Meulen, Siège de Valenciennes. 16 mars 1677

Jean Alaux, dit le Romain, Prise de Valenciennes. 17 mars 1677

Adam Frans Van Der Meulen (d'après), Le siège de Cambrai par Louis XIV

Jean Paul, d'après Adam Frans van der Meulen, Prise de la ville de Cambrai. 5 avril 1677

Adam Frans van der Meulen, Prise de Cambrai. 18 avril 1677

Adam Frans van der Meulen, Reddition de la citadelle de Cambrai. 18 avril 1677

Adam Frans van der Meulen ; Charles Le Brun, Reddition de la citadelle de Cambrai. 18 avril 1677

Adam Frans van der Meulen, Prise de Saint-Omer. 22 avril 1677

1678

Charles Le Brun, Prise de la ville et de la citadelle de Gand en six jours. 1678

Pierre Denis Martin, d'après Adam Frans van der Meulen, Prise d'Ypres. 19 mars 1678

Jean-Baptiste Martin, dit Martin des batailles, Prise de Leewe. 4 mai 1678

1684

Adam Frans van der Meulen, Prise de Luxembourg. 3 juin 1684

1690

Pierre Denis Martin, dit Martin le Jeune, Bataille de Fleurus. 1er juillet 1690

1691

Jean-Baptiste Martin, dit Martin des batailles, Prise de Mons. 9 avril 1691

Jean-Baptiste Lecomte, Prise de Mons par Louis XIV. 9 avril 1691

1692

Jean-Baptiste Martin, dit Martin des batailles, Siège de Namur. Juin 1692